Extrait de l'article :
Lorsque Bernardin de Saint-Pierre demanda qu’on lui livrât vivants les animaux de la ménagerie de Versailles, il promit d’en avoir grand soin. « Leur logement et leur nourriture seront de peu de dépense », espérant ne pas être « obligé de solliciter, sous le régime de la liberté, de faibles secours pour porter à sa perfection un établissement entrepris...