Extrait de l'article :
Au début du XXe siècle, les ivoiriers dieppois, arrière-garde d’une armée décimée, nous renseignent sur le mal dont souffre leur profession et les remèdes à essayer : « L’ivoire, disent-ils tous, n’est plus guère à la mode. (...) La mode, libre et capricieuse, ne se décrète pas. Puis le nombre des éléphants, surchassés et trop tués, a diminué ; le beau morfil est devenu rare. Au lieu de 12 à 15 francs...