Extrait de l'article :
Les médecins du XVIIe siècle condamnaient ce qu’ils estimaient être de dangereuses pratiques, et faisaient aux femmes, dans le naïf espoir de les corriger, un effrayant tableau des infirmités qu’elles se préparaient ainsi : « De nos vermillons, camphres, céruses et autres telles espèces vénéneuses, qu’en espérez-vous ? Que mal. Si ces drogues sont mauvaises à tel usage, où vous en voyez-vous réduictes ? Les dents noires, les yeux my perduz, le fard tousjours paroissant sur...
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