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Extrait de l'article :
Instrument sacré connu dès l’Antiquité mais dont le nom apparaît au VIe siècle, la harpe est tenue en haute estime tant chez les princes que les particuliers et troubadours. Portative et prétendument indispensable à tout gentilhomme, elle jouit ensuite d’innovations techniques et de l’engouement des grands, lui assurant des siècles de gloire.
Dans sa Parémiologie musicale, Kastner affirme que « de tous les instruments à cordes que l’on a possédés et que l’on possède encore, il n’y en a pas dont la forme soit plus connue que la harpe et dont l’origine le soit moins ». Nous la trouvons d’abord en Phrygie entre les mains des prêtres, des guerriers et du peuple ; puis en Égypte, dans le sanctuaire des temples. Le nom de David est intimement lié...
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12 octobre 2011
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Extrait de l'article :
Instrument sacré connu dès l’Antiquité mais dont le nom apparaît au VIe siècle, la harpe est tenue en haute estime tant chez les princes que les particuliers et troubadours. Portative et prétendument indispensable à tout gentilhomme, elle jouit ensuite d’innovations techniques et de l’engouement des grands, lui assurant des siècles de gloire.
Dans sa Parémiologie musicale, Kastner affirme que « de tous les instruments à cordes que l’on a possédés et que l’on possède encore, il n’y en a pas dont la forme soit plus connue que la harpe et dont l’origine le soit moins ». Nous la trouvons d’abord en Phrygie entre les mains des prêtres, des guerriers et du peuple ; puis en Égypte, dans le sanctuaire des temples. Le nom de David est intimement lié...
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00:06
Extrait de l'article :
Dans ses Antiquités de Vésone, W. de Taillefer suit, à partir de Périgueux, le tracé de la route de Saintes, près de laquelle, dans la commune de Marsac, avait été découvert en 1754 la célèbre colonne militaire de l’empereur Florien, et constate que « partout elle est connue des habitants du pays sous le nom de Comi bouinat...
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Extrait de l'article :
La civilisation antique avait produit des troupes de musiciens faiseurs de tours, chanteurs ou autres artistes dont le rôle était d’amuser dans les intérieurs. A Rome, les pantomimes et la musique étaient le complément nécessaire de tout festin de cérémonie. Le christianisme ne put détruire ces pratiques, et, malgré l’Église, qui les prohibait, la barbarie d’abord, et ensuite la chevalerie, s’y adonnèrent...
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Extrait de l'article :
La cérémonie du Cheval Mallet n’était-elle point ancestrale ? Ne tient-elle pas au culte des druides, ainsi que le font présumer le chêne, le cheval et les baguettes fleuries ? Ces deux hommes, armés de longues épées et ferraillant pendant la marche et les danses, ne rappellent-ils pas les sacrifices mettant en scène les prisonniers de guerre...
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12 octobre 2011
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00:04
Extrait de l'article :
Se déroulant à Saint-Lumine lors de la Pentecôte et nécessitant de longs préparatifs, la fête du Cheval Mallet serait liée à un ancien droit seigneurial : mettant en scène, une semaine durant, un cheval de bois et neuf acteurs, agrémentée de danses, elle fut interdite en 1791, au prix de grands remous.
Le Cheval Mallet était un jeu annuel ou « mistère » que les paroissiens devaient « de tout temps immémorial servir en l’éral de l’esglise dudict Sainct-Lumine » en reconnaissance de la concession à eux faite, d’abord par le duc de Bretagne et depuis par le roi de France, son successeur, « d’une tenue de marais et marécages...
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12 octobre 2011
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Extrait de l'article :
Bâtie au cœur du Larzac par les Templiers vers le milieu du XIIe siècle, la Couvertoirade peut s’enorgueillir de posséder château et remparts qui en firent une inexpugnable citadelle n’ayant de prise qu’au temps qui passe.
Située à 9 km du Caylar et à 12 km de Nant, la Couvertoirade, corbeille de verdure que fécondent les eaux de la Durzon et de la Dourbie, est comme accroupie, à l’affût, dissimulée dans le moutonnement ou plutôt les replis de courtes montagnes. C’est une sentinelle de pierre ; une espèce d’abbaye fortifiée. Ce fut le 11 décembre 1158 que Béranger, roi d’Aragon et comte de Barcelone, fit don, à l’ordre du Temple, d’une étendue de terrain considérable...
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12 octobre 2011
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00:01
Extrait de l'article :
On avança souvent que l’ambassade persane fut organisée par les ministres de Louis XIV, Pontchartrain principalement, pour flatter sa vanité si rudement châtiée dans sa vieillesse. La Palatine s’étonnait « qu’on ne voulût pas convenir que l’ambassadeur de Perse eût été un fourbe » ; Saint-Simon opine que « Pontchartrain, dont cette ambassade regardait le département...
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11 octobre 2011
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23:58
Extrait de l'article :
En 1715, l’extravagance de l’ambassadeur envoyé par le Shah de Perse auprès de Louis XIV pour faire appliquer un traité signé en 1708, bouscule le protocole établi et fait craindre le pire pour les négociations...
L’origine des négociations avec la Perse remontait au traité de commerce de 1708, qui avait remis à flot notre prestige compromis dans l’empire persan, mais n’avait été ratifié que trois ans plus tard et jamais exécuté, tant il paraissait onéreux pour la France. Pour en tirer le bénéfice espéré, et surtout pour obtenir le concours de la France contre Mascate, Hussein s’était décidé à envoyer un ambassadeur...
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10 octobre 2011
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00:28
Extrait de l'article :
Un soir d’automne, un paysan franc-comtois nommé Jean-Claude, dont l’enfance avait été bercée au récit des légendes de la vouivre, après avoir longé les prés humides d’Epenouse, arriva à la source de la Moraie, sur les lieux jadis hantés par la bête qui avait rôdé sous ces saules, s’était mirée à ce ruisseau auquel elle revenait sans doute encore de temps à autre, par les nuits sombres...
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